"Ça ne pouvait pas rester privé" : les confidences de Carla Bruni sur l’affaire Hollande-Gayet
En tournée aux États-Unis, Carla Bruni-Sarkozy s’est confiée au New York Post. Elle évoque sa vie à l’Élysée ainsi que ses ex-petits amis. Elle donne également son avis sur l’affaire Hollande-Gayet.
Si en France Carla Bruni choisit toujours bien ses mots pendant ses interviews, elle s’est laissée aller aux confidences lors de son passage à New York. Elle avoue notamment que l’Élysée « ne lui manque pas du tout ». L’ex-Première dame précise : « Oh, ça ne me manque pas du tout ! C’était magnifique, mais c’était comme un fantastique musée… Je me sentais comme une invitée dedans. Mais une partie de mon travail était d’accueillir les gens en France et c’était un vrai plaisir ».
A propos de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni révèle qu’il a « une très très belle voix ! ». Et d’ajouter : « Il aurait fait un brillant acteur ».
La chanteuse évoque également ses ex-conquêtes. Au sujet d’Eric Clapton, elle déclare : « J'ai été sa petite amie pendant environ un an. Je n'ai jamais vraiment partagé de musique avec lui, excepté le fait que sa vie est remplie de musique. J'ai pu l'observer, voir comment il travaillait. C'est définitivement un génie, tant en compositeur qu'en guitariste. Et il est très simple, jamais prétentieux, très modeste, génial ».
Concernant Mick Jagger, le leader des Rolling Stones, Carla Bruni se fait plus hésitante. « Je n’ai jamais vraiment été sa petite amie, c’est la vérité, confit-elle. Mais j’ai toujours eu pour lui, disons, de l’amitié. J’ai beaucoup d’affectation pour lui ».
Carla « souhaite le meilleur » à Hollande
Interrogée sur l’affaire Hollande-Gayet, l’artiste a répondu : « Il faut savoir qu’en France, il y a une loi qui est supposée protéger la vie privée. Mais nulle part ailleurs il existe une loi pareille… En France, il y a toujours une ambivalence. Ils disent "C’est ma vie privée" mais c’est aussi en rapport avec l’argent public, non ? Donc, ce ne peut pas être privé ». « Et si les magazines français ne publient pas ce genre d’information, les Belges le feront et la nouvelle sera visible partout », précise-t-elle.
Mais elle admet toutefois se sentir « un peu patriote ». C’est pourquoi elle « souhaite le meilleur » à François Hollande, ajoutant « gérer un pays, ce n'est pas facile. Et les temps non plus ne sont pas faciles ».
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