A l'occasion de Tangopostale, Toulouse accueille deux expositions à la gloire du tango
La danse où excellait Carlos Gardel fait l'objet de deux expositions à l'occasion de Tangospostale
En marge du festival Tangopostale, la Communauté Municipale de Santé (CMS) propose deux expositions inédites à la gloire du tango. "Tango pintado" et "Les Trottoirs de Buenos Aires" réunissent le peintre et bédéiste Étienne Martin et le collectionneur d’affiches Jean-Luc Guinamant. Étienne Martin présente douze années de tango .
Une vingtaine d’huiles sur toile traduisant le mouvement et le dialogue des corps. "Je danse le tango depuis 17 ans et je le montre loin de l’image d’Épinal qu’en a le grand public. Non ce n’est pas une danse macho, la femme propose et n’est pas simplement guidée. Il faut beaucoup d’écoute réciproque", assure l’artiste. Jean-Luc Guinamant, dévoile des affiches d’époque, dont certaines originales, illustrant la venue d’orchestres argentins au mythique café-concert parisien "Les Trottoirs de Buenos Aires", qui accueillit dans les années 80 à 90 toute la culture argentine.
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Dans le cadre des Cafés Tango de Tangopostale, on retrouvera le 3 juillet à 14h30 salle du Sénéchal à Toulouse, Jean-Luc Guinamant qui racontera la folle histoire des "Trottoirs de Buenos Aires" en présence d’un de ses fondateurs, Reynaldo Harguinteguy. Le lendemain à 15h30, Étienne Martin viendra y parler de "Sombras y Tango" sa bande dessinée adaptée du polar de Benjamin Eismann, présent à ses côtés.
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