Élections européennes 2024 : Jean Lassalle a fait salle comble à Caussade
Plus de 700 personnes, dont nombre de chasseurs, sont venues à Caussade (Tarn-et-Garonne) écouter Jean Lassalle, tête de liste de l’Alliance rurale aux élections européennes.
Dans le cadre des élections européennes, Jean Lassalle, tête de liste de l’Alliance Rurale, accompagné de Willy Schraen, président de la fédération nationale de chasse en 3e position sur la liste, a été accueilli, mercredi en début de soirée à l’espace Bonnaïs de Caussade par le président de la fédération départementale de chasse, Thierry Cabanes.
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Cela en présence du maire de Caussade, Gérard Hébrard et du président de la communauté de communes du Quercy caussadais, Guy Rouziès, où les attendaient plus de 700 personnes.
« Pouvoir choisir notre vie pour demain »
« Ce que nous voulons à l’Alliance Rurale, comme pour nos enfants et nos petits-enfants, c’est de pouvoir choisir notre vie pour demain. Ce n’est pas le moment de renoncer. Il n’est jamais trop tard pour bien faire et redresser la barre européenne… Nous sommes des gens apolitiques, nous avons un métier et des valeurs et surtout nous avons des connaissances » soulignait le président national de la chasse après avoir longuement vilipendé toutes les décisions européennes en lien avec une écologie qu’il qualifie de punitive et qui engendre trop de normes et de surtaxes à son goût.
« Nous sommes déjà dans la résistance »
Nostalgique, Jean Lassalle enchaînait en évoquant l’époque où la France était la première puissance au niveau de la fabrication des trains, des avions, des bateaux et en troisième position pour le spatial. « Que cela est-il devenu ? Il y avait un grand projet à construire et nous n’avons été que des pleutres et des lâches. Où sont nos équipements dont nous étions si fiers ». Et d’ajouter : « Nous sommes déjà dans la résistance. Est-ce que trente ans après, on n’a pas le droit de se poser la question de continuer à travailler avec des pouvoirs qui n’existent plus, ni dans les États, ni en Europe, avec uniquement des hommes et des femmes liés à de puissants lobbies détenus par des forces étrangères dont vous n’imaginez pas la puissance ». Avant de conclure : « Oui, nous sommes des ruraux, mais nous sommes la France ».
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