Toulouse. Stade Toulousain : un écart à creuser
Les Toulousaines mettent à jour leur calendrier, demain, face au FC Grenoble. L’occasion de reprendre, seules, le leadership.
> Stade Toulousain – Grenoble, demain, 13 heures
"On a campé, sans parvenir à passer. Rien de grave pour autant…". Olivier Marin, d’autant plus indulgent quant à "l’oubli" du bonus offensif dimanche dernier face à Lons-Pau que l’investissement des Stadistes a été exempt du moindre reproche, a vite passé l’éponge.
Non seulement Lons n’est en rien le concurrent direct de l’équipe pilotée par Laure Sansus- Bourdon et Céline Ferrer, mais, mine de rien, le leader "virtuel" (car ex æquo) passait un test des plus sérieux en termes de profondeur de banc. Ce sera encore le cas demain, Barrat et Murie ayant à leur tour rejoint Hermet, Lecat, Baguette et compagnie dans les locaux de l’infirmerie. Fort heureusement, en sens inverse, ça revient bien. On pense aux internationales à sept (Ian Jason, Lili Dezou) , mais aussi à Maelia Lapoujade, pierre angulaire d’un édifice appelé à trouver davantage de stabilité dans l’épreuve reine que face aux Béarnaises.
Seules aux commandes
Sur le registre de la polyvalence, on suivra de près Paola Castello dans sa capacité à défendre le dernier rempart tandis que le coup de projecteur se portera sur Marie Ibanez. Laquelle n’est autre que la sœur de Matéo, lui-même ancien Stadiste avant la fermeture de la parenthèse blagnacaise.
Dans l’absolu, le Stade Toulousain n’a besoin que d’un point de bonus défensif pour s’installer seul au poste de commandes mais il est clair qu’une victoire lui permettrait de reléguer les Iséroises à onze, douze ou treize longueurs.
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?